๐๐ฎ๐š๐ง๐ ๐”๐ง ๐๐จ๐žฬ€๐ฆ๐ž ๐๐ž๐ฏ๐ข๐ž๐ง๐ญ ๐„ฬ๐ฅ๐š๐ง โ€ฆ

Un Citoyen Seyssois nous a offert ses Mots, comme on tend la main ร  celles et ceux qui veillent.

Ses vers murmurent ce que parfois on ne sait plus dire: La Dรฉmocratie qu'ils รฉtouffent la Libertรฉ qu'ils bousculent .

Merci ร  lui pour ce Souffle offert.

VOUS, Citoyennes, Citoyens de Seysses ou d'Ailleurs : Si vous souhaitez, Vous aussi, Partager Un Texte, Un Poรจme, Une Vision, ou Un Engagement, โ€ฆ..Envoyez-les-nous.

Nous les accueillerons avec soin et les publierons dans notre futur Blog :

๐๐จ๐ญ๐ซ๐ž ๐‚๐จ๐ฆ๐ฆ๐ฎ๐ง๐ž, ๐๐จ๐ญ๐ซ๐ž ๐€๐ฏ๐ž๐ง๐ข๐ซ- ๐’๐ž๐ฒ๐ฌ๐ฌ๐ž๐ฌ ๐ƒ๐ž๐ฆ๐š๐ข๐ง

Nous Vous laissons dรฉcouvrir :

๐Œ๐š๐๐š๐ฆ๐ž ๐‹๐š ๐ƒ๐žฬ๐ฆ๐จ๐œ๐ซ๐š๐ญ๐ข๐ž, ๐ฆ๐ž๐ฎ๐ซ๐ญ ๐ฌ๐จ๐ฎ๐ฌ ๐ฅ๐ž๐ฎ๐ซ๐ฌ ๐๐จ๐ข๐ ๐ญ๐ฌ

โ€ฆ Ils chantent Ton nom pour mieux trahir,

Ils te brandissent pour te salir.

Ils t'utilisent comme un drapeau,

Mais tu n'est plus qu'un mot trop beau.

J'ai vu leurs gestes, leurs missions,

J'ai ressenti cette manipulation.

Ils ont coupรฉ, sans un regard,

Comme si seule leurs voix รฉtaient รฉtendard.

Ils dรฉtestent ceux qui sont sincรจres,

Ceux qui questionnent, ceux qui รฉclairent.

Ils veulent des rangs, des mots figรฉs,

Pas des esprits qui peuvent dรฉranger.

Moi, j'ai parlรฉ avec conviction,

Avec force, avec raison.

Mais tout en moi semblait de trop,

Comme si j'รฉtais brisure ou fardeau.

Ils veulent des Femmes qui se taisent,

Pas celles qui dรฉfient ร  l'aise.

Ils veulent le calme, la soumission.

Pas une idรฉe, pas Une vision.

TOIโ€ฆ Dรฉmocratie, tu m'habites,

Mรชme quand tout devient un vide.

Un champ d'orgueil et d'oppression,

Un lieu sans place pour la passion.

Tu es blessรฉe, tu es volรฉe,

Mais dans mon cล“ur, tu veux marcher.

Et si ma voix dรฉrange leurs lois,

C'est que tu vis encore en moi.

Je ne plierai pas devant eux,

Mรชme s'ils prรฉtendent รชtre pieux.

Car leur vernis ne cache plus rien,

Et ton absence crie dans leurs mains.

Parce que la Dรฉmocratie,

C'est pas leur outil.

C'est Notre combat

๐„๐ญ ๐ง๐ฎ๐ฅ ๐ง๐ž ๐ง๐จ๐ฎ๐ฌ ๐Ÿ๐ž๐ซ๐š ๐›๐š๐ข๐ฌ๐ฌ๐ž๐ซ Notre Voix

 

Prรฉcรฉdent
Prรฉcรฉdent

80 ans de Droit, et Toujours pas d'รฉgalitรฉ en Politique.

Suivant
Suivant

Mesdames, Nous Vous rendons Hommage